Patrimoine Marocain

Vivez la guetna au cœur des oasis du Tafilalet : la Fête des Dattes d’Erfoud revient en 2025, portée par le salon SIDATTES (29 oct–2 nov). Entre la rahba – marché où s’alignent Mejhoul, Boufeggous, Bouskri et Jihel – animations, parades et rencontres avec les coopératives, c’est l’occasion d’acheter en circuit court et de goûter au patrimoine oasien. Notre guide détaille accès via Errachidia, où dormir (Erfoud, Rissani, Merzouga), que voir autour (palmeraies, ksour) et nos conseils responsables pour préserver les oasis. Bonus : un mini-itinéraire 2 jours et des repères dégustation pour bien choisir ses dattes — idéal à combiner avec un coucher de soleil sur l’Erg Chebbi.

Du 19 au 23 septembre 2025, la Mosalla Sidi Amara de Marrakech vibrera au rythme de la gastronomie et de l’hospitalité avec la 11ᵉ édition du CREMAI. Considéré comme le plus grand salon professionnel d’Afrique et du Moyen-Orient, il réunira chefs, hôteliers, restaurateurs, boulangers et fournisseurs autour d’expositions, concours prestigieux, démonstrations culinaires et conférences. Véritable vitrine culturelle et économique, le CREMAI mettra en avant la richesse du terroir marocain, les innovations de l’hôtellerie durable et le rayonnement international de Marrakech comme capitale gastronomique et touristique.

Le SIEMA Food Expo 2025, organisé du 9 au 11 septembre à Casablanca, réunit plus de 250 exposants et 20 000 visiteurs professionnels autour de l’agroalimentaire. Fort de son patrimoine culinaire et de ses capacités d’exportation croissantes, le Maroc met en avant l’excellence de ses produits tout en explorant les innovations technologiques. Ce salon illustre l’équilibre entre préservation des traditions et modernisation industrielle, confirmant la place stratégique du Royaume comme carrefour entre l’Afrique, l’Europe et le monde arabe.

Le msemen, crêpe feuilletée marocaine emblématique, incarne bien plus qu’un mets savoureux. Ancré dans l’histoire culinaire du Maroc depuis le Moyen Âge, il reflète...

La Tanjia marrakchie est un plat traditionnel emblématique de Marrakech, préparé historiquement par les hommes artisans. Longtemps cuite sous les cendres, elle se décline aujourd’hui aussi en cocotte-minute. Entre gastronomie, culture et poésie, la tanjia incarne l’âme joyeuse et chaleureuse de la ville ocre.

La cuisine marocaine a été élue meilleure cuisine du monde par Pubity, triomphant face à la cuisine mexicaine avec 60% des votes. Gordon Ramsay a célébré...

La pastilla marocaine au poulet et amandes est l’un des plats les plus emblématiques de la cuisine du Maroc. Mariant avec finesse des saveurs sucrées et salées...

Le pain marocain est un élément central de la culture culinaire du Maroc. Présent à chaque repas, il accompagne tajines, soupes et mets traditionnels. Ce guide explore...

La harira marocaine, soupe emblématique du Ramadan au Maroc, est réputée pour ses saveurs riches et ses bienfaits nutritionnels. Mais saviez-vous qu’une légende raconte qu’elle aurait...

Le berkoukes sucré, originaire du Sud marocain, est un plat rare et raffiné à base de semoule roulée, de miel et d’amlou, cette pâte onctueuse d’amandes et d’huile d’argan. Véritable trésor du patrimoine culinaire amazigh, il incarne l’alliance de la simplicité et de la richesse gastronomique marocaine. Traditionnellement servi lors de fêtes et de moments de partage, le berkoukes sucré raconte l’histoire d’un savoir-faire ancestral et séduit aujourd’hui par son authenticité, sa valeur culturelle et son goût inimitable.

Véritable icône de la cuisine marocaine, le couscous marocain est bien plus qu’un simple plat : il est le reflet d’une culture riche et d’un art de vivre ancestral. Présent sur toutes les tables du royaume, il symbolise la convivialité, le partage et la bénédiction. Héritage des traditions amazighes, le couscous est préparé avec patience et savoir-faire, dans le respect des gestes transmis de génération en génération. Du roulage minutieux de la semoule à la cuisson à la vapeur dans le couscoussier, chaque étape incarne la rigueur et la précision chères aux foyers marocains. Ce soin se retrouve dans le proverbe populaire : “Oulah ila makafalti la fawarti”, qui rappelle que sans effort ni maîtrise, aucun bon résultat n’est possible. Plat fédérateur, le couscous se décline en mille saveurs selon les régions — du couscous du Souss Massa à l’orge, au couscous fassi sucré-salé, en passant par le couscous aux sept légumes de Marrakech. Inscrit depuis 2020 au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, le couscous marocain demeure une fierté nationale et un symbole d’unité. Entre savoir-faire, sagesse populaire et identité culinaire, il raconte à lui seul l’histoire et la générosité du Maroc.

Le tajine marocain est bien plus qu’un simple plat : c’est un symbole de convivialité, de générosité et de patrimoine culinaire. Préparé dans un plat en terre cuite et mijoté lentement, il révèle toute la richesse des épices marocaines : curcuma, gingembre, cannelle, safran… En 2025, il continue de rayonner à l’international, aux côtés du couscous, et séduit par ses multiples variantes, du poulet au citron confit à l’agneau aux pruneaux. Découvrez son histoire, ses traditions, sa recette authentique et les secrets de ce mets emblématique qui fait la fierté de la gastronomie marocaine.

Préparer le thé marocain à la menthe est un art ancestral qui perdure encore en 2025. Bien plus qu’une simple boisson, il incarne l’hospitalité, la convivialité et les traditions du Maroc. À base de thé vert Gunpowder, de menthe fraîche et de sucre, il accompagne les fêtes, les mariages, les réunions familiales comme les moments de solitude. Découvrez son histoire, sa recette authentique et les anecdotes qui font du thé à la menthe un véritable symbole culturel marocain.

Edinayer, le Nouvel An amazigh, est une fête importante pour les Amazighs du monde entier. Elle est marquée par des festivités, des danses et des chants traditionnels, ainsi que par la préparation et le partage d'un plat traditionnel, l'ourkimen. Cette fête est l'occasion pour les Amazighs de se rassembler et de célébrer leur culture et leur identité.

La gastronomie locale à Souss Massa a un lien considérable avec l’environnement dans la mesure où l’interprétation liée aux repas...

Après les manifestations, la Génération Z marocaine a surpris le pays par ses gestes de civisme : nettoyage des rues, fleurs offertes à la police et mobilisation sur les réseaux sociaux. Entre modernité et héritage, ces jeunes réinventent la twiza, l’ancienne tradition d’entraide et de paix communautaire.

Les Journées du Patrimoine 2025 ont offert au Maroc une occasion unique de célébrer et de redécouvrir son héritage culturel. À Casablanca, le thème de l’Art Déco a attiré des milliers de participants autour de visites guidées, expositions et ateliers, révélant la richesse d’un patrimoine moderne parfois menacé. À Marrakech, c’est l’eau et les jardins qui ont été au cœur des festivités, avec des parcours sensoriels et des rencontres autour du patrimoine hydraulique et paysager. Ces événements, qui s’inscrivent dans le cadre plus large de la Journée internationale des Monuments et Sites de l’UNESCO, rappellent l’importance de préserver notre histoire face aux défis de l’urbanisation, du climat et du temps. Plus qu’une simple célébration, les Journées du Patrimoine 2025 renforcent la sensibilisation des citoyens, jeunes et moins jeunes, à la valeur inestimable du patrimoine marocain, matériel comme immatériel.

Du 17 octobre au 8 novembre 2025, le Maroc accueillera la Coupe du monde féminine U17. Plus qu’un événement sportif, c’est une célébration culturelle et sociale : football féminin, villes hôtes, jeunesse et héritage social marocain.

Le Maârouf est une pratique ancestrale profondément enracinée dans la culture marocaine. Il s’exprime à travers des gestes simples de générosité : partager un repas, offrir une aide matérielle, contribuer à une cérémonie ou soutenir les plus démunis. Ces actes, perçus comme un devoir moral et religieux, dépassent la simple charité pour devenir un véritable ciment social. Le Maârouf est aussi porteur d’une dimension spirituelle, puisqu’il est associé à la baraka, cette bénédiction qui enrichit la vie de celui qui donne comme de celui qui reçoit. Symbole de fraternité et d’hospitalité, il continue aujourd’hui de jouer un rôle central dans le vivre-ensemble marocain.

Aïcha la Contessa est une figure mystérieuse du patrimoine oral marocain. Guérisseuse, conseillère et femme libre, elle incarne la mémoire des femmes marocaines légendaires, entre Orient et Occident. Souvent confondue avec Aïcha Kandisha, elle symbolise pourtant une sagesse bienveillante et un héritage culturel féminin encore vivant.

a darija marocaine influence de plus en plus le français parlé en France, notamment chez les jeunes. À travers des mots comme "safi", "zarma" ou "wallah", elle apporte...

Découvrez comment l’art marocain encode croyances et identités à travers ses motifs : symboles amazighs (tatouages, tissages), géométries du zellige, arabesques et calligraphie, tapis berbères et rituels du henné. Un guide des formes, couleurs et fonctions (protection, baraka, harmonie) pour lire ce patrimoine vivant aux influences amazighes, arabes, andalouses et africaines.

Le pain marocain est un élément central de la culture culinaire du Maroc. Présent à chaque repas, il accompagne tajines, soupes et mets traditionnels. Ce guide explore...

La monnaie du Maroc a connu une transformation majeure, passant du Rial Hassani (1882), introduit sous Moulay el-Hassan, au Dirham Marocain (2025)...

Les femmes amazighes ont toujours été des figures centrales de l’histoire et de l’identité marocaine, jouant un rôle clé dans la résistance contre la colonisation....

Ahwache, danse traditionnelle amazighe, et le Hip-Hop marocain, culture urbaine contemporaine, partagent un rôle commun : véhiculer des messages sociaux et culturels. Ces deux formes...

Le tajine marocain est bien plus qu’un simple plat : c’est un symbole de convivialité, de générosité et de patrimoine culinaire. Préparé dans un plat en terre cuite et mijoté lentement, il révèle toute la richesse des épices marocaines : curcuma, gingembre, cannelle, safran… En 2025, il continue de rayonner à l’international, aux côtés du couscous, et séduit par ses multiples variantes, du poulet au citron confit à l’agneau aux pruneaux. Découvrez son histoire, ses traditions, sa recette authentique et les secrets de ce mets emblématique qui fait la fierté de la gastronomie marocaine.

Avant la colonisation, la société marocaine reposait sur la tribu et l’héritage social. Les femmes y jouaient un rôle majeur : gestion agricole et domestique, transmission culturelle et résistance héroïque. Cet article retrace leur contribution à l’identité marocaine.

Cet article retrace une tradition amazighe autrefois pratiquée dans la région d’Ikholan (commune de Sidi Mzal, province de Taroudant), autour de la récolte communautaire des amandes. Fondée sur le partage, la justice et la surveillance collective, cette organisation rurale impliquait des gardiens appelés “Infgouren”, chargés de faire respecter les règles. Aujourd’hui disparue en raison de la sécheresse et de l’exode rural, cette tradition reste un témoignage fort d’un mode de vie ancestral. L’article rend également hommage à Da Hmade OuAbdellah Lamine, ancien gardien respecté de la région.

Bien avant l’ère numérique et des applications de rencontre comme Tinder, les jeunes Amazighs pratiquaient le Sker, une tradition marocaine aujourd’hui presque oubliée. Ce rituel se déroulait près des sources d’eau et des puits, où les filles et les garçons échangeaient des paroles respectueuses, dans un cadre codifié par la coutume. Les jeunes filles, voilées par l’« Adal », préservaient leur pudeur, tandis que les femmes mariées, reconnaissables à leur habit, se trouvaient également autour de la source pour s’approvisionner mais restaient en dehors de cette pratique. L’objectif du Sker n’était pas un simple échange, mais la préparation à l’étape suprême : le mariage. Plus qu’une coutume, le Sker reflétait une forme de rencontre sociale et légitime. Aujourd’hui, il soulève des réflexions modernes sur la mixité, l’égalité et les rapports hommes-femmes au Maroc.

Au Maroc, la Lune est bien plus qu’un astre. Symbole sacré dans la mythologie amazighe (Ayyur), repère du calendrier religieux musulman et objet de rituels comme la prière du khousouf, elle reste profondément liée à la culture marocaine. L’éclipse actuelle de la Lune rouge réactive cet héritage : les croyances populaires évoquent des symptômes ressentis par les enfants Zuhri, tandis que sur les réseaux sociaux, des praticiens de la roqya partagent des conseils spirituels pour se protéger. Entre science, religion et superstitions, la Lune rouge illustre la richesse et la diversité des traditions marocaines.

L’Aïd Al-Mawlid, aussi appelé Mouloud, est la commémoration de la naissance du Prophète Mohammed (paix et salut sur lui). En 2025, il sera célébré le 5 septembre au Maroc et à la même période en France. Au-delà de la dimension spirituelle marquée par prières et chants religieux, le Mawlid est également une fête culturelle et familiale au Maroc, où l’on partage des repas traditionnels comme la rfissa ou le tajine aux pruneaux, dans une ambiance de convivialité et de transmission des valeurs.

Voyager au Maroc pendant le Ramadan : Guide & Conseils 2025 – Découvrez une expérience authentique en respectant les traditions, en adaptant votre planning aux horaires modifiés...

Découvrez le jeune musulman, ses significations spirituelles et ses bienfaits sur la santé : détoxification, perte de poids...

Le 8 septembre 2023, un séisme meurtrier frappait le Maroc, détruisant des milliers d’habitations et endommageant gravement la Grande Mosquée de Tinmel, chef-d’œuvre almohade du XIIᵉ siècle. Située au cœur du Haut Atlas, cette mosquée n’était pas seulement un lieu de culte, mais un symbole politique et spirituel de l’empire almohade. Ses arches, ses dômes et son minaret se sont effondrés, laissant habitants et chercheurs face à une perte inestimable. En 2025, Tinmel connaît une nouvelle étape : les travaux de restauration de la mosquée reprennent avec l’appui d’experts marocains et internationaux. Des technologies modernes, comme la lasergrammétrie, permettent de documenter et de reconstituer ses éléments décoratifs, tandis que des fouilles archéologiques révèlent de nouveaux vestiges almohades. Parallèlement, les habitants reconstruisent leurs maisons, malgré des aides insuffisantes et des lenteurs administratives. Entre mémoire et renaissance, Tinmel demeure un symbole fort de résilience, de fierté identitaire et d’espoir pour la préservation du patrimoine marocain.

La région du Souss est réputée pour une culture scientifique religieuse qui lui est propre. Ses érudits occupent une place particulière dans la société...

Aux portes du Sahara, Merzouga et ses majestueuses dunes de l’Erg Chebbi offrent une immersion unique au cœur du désert marocain. Entre bivouacs nomades, coucher et lever de soleil spectaculaires...

Agadir attire en 2025 par son mélange soleil/culture. Cette baie atlantique est une base idéale pour explorer le Souss-Massa et la culture amazighe. En ville, prenez le téléphérique pour la Kasbah d’Agadir Oufella, flânez au Souk El Had, découvrez la Médina (Coco Polizzi), Crocoparc et la corniche. L’été, le Festival Timitar anime la destination. Notre guide rassemble idées d’activités, itinéraire “Agadir en 1 jour”, conseils pratiques (périodes, transport, usages) et bonnes adresses pour réussir votre séjour, que vous voyagiez en famille, en couple ou entre amis.

Du 19 au 21 juin 2025, Essaouira accueille la 26ᵉ édition du Festival Gnaoua et Musiques du Monde, événement majeur du calendrier culturel marocain.

Boujloud 2025 marque une édition particulière de cette tradition amazighe séculaire, célébrée après l’Aïd al-Adha. Alors que...

Découvrez 10 trésors cachés du Maroc, des destinations uniques entre nature, histoire et aventure. De Tafraout à l’Erg Chegaga, explorez des lieux authentiques...

S’accorder des moments de solitude est essentiel pour retrouver un équilibre mental, réduire le stress et stimuler la créativité. Se déconnecter du tumulte quotidien...

Voyager au Maroc pendant le Ramadan : Guide & Conseils 2025 – Découvrez une expérience authentique en respectant les traditions, en adaptant votre planning aux horaires modifiés...

Le patrimoine mondial de l'UNESCO au Maroc reflète la richesse de son histoire, de ses traditions et de sa diversité culturelle. Des sites historiques emblématiques tels que...

Vivez une expérience inoubliable à Ouarzazate. Profitez de soins traditionnels, de randonnées captivantes, et d'une immersion authentique...

Nichée au pied du majestueux Jbel Lekst, la Vallée d’Ameln (ou Vallée des Ammeln) séduit les voyageurs par ses reliefs granitiques aux couleurs changeantes, ses palmeraies verdoyantes et ses villages amazighs traditionnels. Située à seulement 5 km de Tafraoute, au cœur de l’Anti-Atlas, elle est une destination idéale pour les amateurs de randonnée, de tourisme culturel et d’expériences authentiques. Entre la découverte du village d’Oumesnat et de sa Maison Traditionnelle, l’ascension du Jbel Lekst, ou encore les panoramas uniques de la “Tête de Lion”, chaque visiteur y trouve un dépaysement inoubliable.

Découvrez comment la satisfaction touristique joue un rôle clé dans l'amélioration de l'expérience voyageur, en analysant les besoins des touristes et en adaptant les offres pour répondre à leurs attentes.

La 46ᵉ édition du Moussem culturel international d’Asilah (26 sept. – 12 oct. 2025) rend hommage à Mohamed Benaïssa et met en lumière la poésie africaine avec le Prix Tchicaya U Tam’si, des colloques sur l’art et la technique, des expositions et ateliers célébrant la création africaine et le dialogue interculturel.

Le terme "tourisme" vient de l'anglais "tourism" (1811) et se réfère au plaisir du voyage, dérivant du français "tour" (voyage circulaire). Il a évolué pour inclure diverses disciplines comme...

Meknès, cité hispano-mauresque du XVIIe siècle, se distingue par ses murailles imposantes et ses portes monumentales.

Chefchaouen, la ville bleue du Maroc, est un joyau montagnard connu pour ses ruelles pittoresques et son architecture distinctive. Explorez ses bâtiments bleu délavé, découvrez la médina animée

Seuls les jeunes de la tribu d’Ait Hdidou et la tribu d’Ait Azza prennent part au mariage collectif d'Imilchil. Selon les traditions...

Le Palais Bahia, joyau du XIXᵉ siècle à Marrakech, est un chef-d’œuvre de l’architecture marocaine. Construit par le vizir Ba Hmad, il séduit par ses cours majestueuses, ses jardins luxuriants et ses décors raffinés en zellige, stuc et bois sculpté. Classé patrimoine national, il attire les voyageurs en quête d’histoire et de culture. Découvrez son harem, son grand riad, ses salons privés et profitez de nos conseils pratiques pour organiser votre visite et mieux comprendre son héritage.

Les Journées du Patrimoine 2025 ont offert au Maroc une occasion unique de célébrer et de redécouvrir son héritage culturel. À Casablanca, le thème de l’Art Déco a attiré des milliers de participants autour de visites guidées, expositions et ateliers, révélant la richesse d’un patrimoine moderne parfois menacé. À Marrakech, c’est l’eau et les jardins qui ont été au cœur des festivités, avec des parcours sensoriels et des rencontres autour du patrimoine hydraulique et paysager. Ces événements, qui s’inscrivent dans le cadre plus large de la Journée internationale des Monuments et Sites de l’UNESCO, rappellent l’importance de préserver notre histoire face aux défis de l’urbanisation, du climat et du temps. Plus qu’une simple célébration, les Journées du Patrimoine 2025 renforcent la sensibilisation des citoyens, jeunes et moins jeunes, à la valeur inestimable du patrimoine marocain, matériel comme immatériel.

Plongez au cœur du patrimoine amazigh en découvrant les Igoudar, greniers collectifs fortifiés uniques au sud du Maroc. Témoins d’un savoir-faire ancestral et d’un mode de vie communautaire exceptionnel, ces édifices impressionnants, construits en pierre et en argile selon des techniques traditionnelles, servaient à la fois de lieux de stockage, de centres de décision et d’espaces sacrés pour les tribus amazighes. Dans la région de Chtouka Aït Baha, plus de 40 Igoudar témoignent encore de cette richesse culturelle, notamment à Hilala, Aït Mzal, Tiskdalt et Idouknzif. Leur architecture défensive, leur gestion collective et leur rôle social en font des joyaux uniques à explorer. Aujourd’hui, ces trésors sont appelés à renaître à travers des projets de valorisation touristique, des festivals locaux et des parcours culturels qui vous permettront de vivre une immersion authentique dans l’histoire et l’identité du Sud marocain. Les Igoudar ne sont pas seulement à visiter : ils sont à vivre, à comprendre et à préserver. Une invitation à voyager autrement, à la rencontre d’un patrimoine vivant, porteur de mémoire et de lien social.

Découvrez comment l’art marocain encode croyances et identités à travers ses motifs : symboles amazighs (tatouages, tissages), géométries du zellige, arabesques et calligraphie, tapis berbères et rituels du henné. Un guide des formes, couleurs et fonctions (protection, baraka, harmonie) pour lire ce patrimoine vivant aux influences amazighes, arabes, andalouses et africaines.

Les tapis amazighs, ou berbères, sont des trésors d'artisanat millénaire au Maroc, tissés principalement par les tribus berbères des montagnes de l'Atlas et du Rif...

Meknès, cité hispano-mauresque du XVIIe siècle, se distingue par ses murailles imposantes et ses portes monumentales.

Le 8 septembre 2023, un séisme meurtrier frappait le Maroc, détruisant des milliers d’habitations et endommageant gravement la Grande Mosquée de Tinmel, chef-d’œuvre almohade du XIIᵉ siècle. Située au cœur du Haut Atlas, cette mosquée n’était pas seulement un lieu de culte, mais un symbole politique et spirituel de l’empire almohade. Ses arches, ses dômes et son minaret se sont effondrés, laissant habitants et chercheurs face à une perte inestimable. En 2025, Tinmel connaît une nouvelle étape : les travaux de restauration de la mosquée reprennent avec l’appui d’experts marocains et internationaux. Des technologies modernes, comme la lasergrammétrie, permettent de documenter et de reconstituer ses éléments décoratifs, tandis que des fouilles archéologiques révèlent de nouveaux vestiges almohades. Parallèlement, les habitants reconstruisent leurs maisons, malgré des aides insuffisantes et des lenteurs administratives. Entre mémoire et renaissance, Tinmel demeure un symbole fort de résilience, de fierté identitaire et d’espoir pour la préservation du patrimoine marocain.

Le Palais Bahia, joyau du XIXᵉ siècle à Marrakech, est un chef-d’œuvre de l’architecture marocaine. Construit par le vizir Ba Hmad, il séduit par ses cours majestueuses, ses jardins luxuriants et ses décors raffinés en zellige, stuc et bois sculpté. Classé patrimoine national, il attire les voyageurs en quête d’histoire et de culture. Découvrez son harem, son grand riad, ses salons privés et profitez de nos conseils pratiques pour organiser votre visite et mieux comprendre son héritage.

La commune de Chtouka Aitbaha (70 km d’Agadir) est connue par ses fameux Igudar tels ceux de Sidi yaacoub, Imhilen et Guemzt et bien d’autre...

Vivez la guetna au cœur des oasis du Tafilalet : la Fête des Dattes d’Erfoud revient en 2025, portée par le salon SIDATTES (29 oct–2 nov). Entre la rahba – marché où s’alignent Mejhoul, Boufeggous, Bouskri et Jihel – animations, parades et rencontres avec les coopératives, c’est l’occasion d’acheter en circuit court et de goûter au patrimoine oasien. Notre guide détaille accès via Errachidia, où dormir (Erfoud, Rissani, Merzouga), que voir autour (palmeraies, ksour) et nos conseils responsables pour préserver les oasis. Bonus : un mini-itinéraire 2 jours et des repères dégustation pour bien choisir ses dattes — idéal à combiner avec un coucher de soleil sur l’Erg Chebbi.

Le Tremplin L’Boulevard 2025 confirme son rôle de révélateur de talents avec une participation massive de 340 candidatures, dont 309 en rap/hip-hop, 21 en fusion et 10 en rock/métal. Après un processus de sélection, 15 projets ont été retenus : 7 dans le rap/hip-hop, 4 en fusion et 4 en rock/métal. Les lauréats bénéficieront non seulement de récompenses financières (10 000 et 5 000 dirhams), mais aussi d’une semaine de formation professionnelle et d’un enregistrement au Studio Hiba, offrant ainsi aux jeunes artistes une véritable plateforme pour se lancer et se professionnaliser.

Les Journées du Patrimoine 2025 ont offert au Maroc une occasion unique de célébrer et de redécouvrir son héritage culturel. À Casablanca, le thème de l’Art Déco a attiré des milliers de participants autour de visites guidées, expositions et ateliers, révélant la richesse d’un patrimoine moderne parfois menacé. À Marrakech, c’est l’eau et les jardins qui ont été au cœur des festivités, avec des parcours sensoriels et des rencontres autour du patrimoine hydraulique et paysager. Ces événements, qui s’inscrivent dans le cadre plus large de la Journée internationale des Monuments et Sites de l’UNESCO, rappellent l’importance de préserver notre histoire face aux défis de l’urbanisation, du climat et du temps. Plus qu’une simple célébration, les Journées du Patrimoine 2025 renforcent la sensibilisation des citoyens, jeunes et moins jeunes, à la valeur inestimable du patrimoine marocain, matériel comme immatériel.

Du 17 octobre au 8 novembre 2025, le Maroc accueillera la Coupe du monde féminine U17. Plus qu’un événement sportif, c’est une célébration culturelle et sociale : football féminin, villes hôtes, jeunesse et héritage social marocain.

Le Maârouf est une pratique ancestrale profondément enracinée dans la culture marocaine. Il s’exprime à travers des gestes simples de générosité : partager un repas, offrir une aide matérielle, contribuer à une cérémonie ou soutenir les plus démunis. Ces actes, perçus comme un devoir moral et religieux, dépassent la simple charité pour devenir un véritable ciment social. Le Maârouf est aussi porteur d’une dimension spirituelle, puisqu’il est associé à la baraka, cette bénédiction qui enrichit la vie de celui qui donne comme de celui qui reçoit. Symbole de fraternité et d’hospitalité, il continue aujourd’hui de jouer un rôle central dans le vivre-ensemble marocain.

Agadir attire en 2025 par son mélange soleil/culture. Cette baie atlantique est une base idéale pour explorer le Souss-Massa et la culture amazighe. En ville, prenez le téléphérique pour la Kasbah d’Agadir Oufella, flânez au Souk El Had, découvrez la Médina (Coco Polizzi), Crocoparc et la corniche. L’été, le Festival Timitar anime la destination. Notre guide rassemble idées d’activités, itinéraire “Agadir en 1 jour”, conseils pratiques (périodes, transport, usages) et bonnes adresses pour réussir votre séjour, que vous voyagiez en famille, en couple ou entre amis.

Le mariage fassi est une célébration traditionnelle marocaine riche en rituels et en symbolisme. Il commence par la demande en mariage, souvent supervisée par les familles, suivie des préparatifs minutieux de la mariée, avec des couturières spécialisées dans des tenues traditionnelles. Des étapes comme la cérémonie du henné, où la mariée et ses proches appliquent du henné pour porter chance, sont incontournables. L'entrée majestueuse de la mariée sur un houdaj (châssis porté par des hommes) est accueillie par des chants traditionnels. Pendant la réception, des plats typiques marocains comme le djaj mahamer (poulet rôti), des viandes en tajine et des fruits secs sont servis. La soirée se poursuit avec de la musique, de la danse et des chants tels que Alf Haniya wa Haniya. La cérémonie se clôture par le départ de la mariée, vêtue de sa takchita blanche, vers la maison de son mari, sous des bénédictions et des chants. Le mariage fassi incarne parfaitement la culture et les traditions marocaines, offrant une expérience immersive unique.

Du 19 au 21 juin 2025, Essaouira accueille la 26ᵉ édition du Festival Gnaoua et Musiques du Monde, événement majeur du calendrier culturel marocain.

Boujloud 2025 marque une édition particulière de cette tradition amazighe séculaire, célébrée après l’Aïd al-Adha. Alors que...

Naïma Samih, grande voix de la chanson marocaine, s’est fait connaître dans les années 1970 avec son tube intemporel "Jrit Ou Jarit". Reconnue pour son timbre puissant et son émotion unique...

Id Yennayer, le Nouvel An amazigh, est désormais une fête nationale officielle au Maroc à partir de 2025. Célébrée les 12 et 13 janvier, cette tradition millénaire met en valeur l’identité amazighe...

Le Maroc célèbre trois Nouveaux Ans : Id Yennayer, spirituel et agricole, le Nouvel An hégirien empreint de foi, et le Nouvel An grégorien festif. Découvrez traditions et expériences uniques, entre désert paisible et villes animées.

Le Festival International du Film de Marrakech 2024, prévu du 29 novembre au 7 décembre, célèbre sa 21e édition...

Ahwache, danse traditionnelle amazighe, et le Hip-Hop marocain, culture urbaine contemporaine, partagent un rôle commun : véhiculer des messages sociaux et culturels. Ces deux formes...

La 46ᵉ édition du Moussem culturel international d’Asilah (26 sept. – 12 oct. 2025) rend hommage à Mohamed Benaïssa et met en lumière la poésie africaine avec le Prix Tchicaya U Tam’si, des colloques sur l’art et la technique, des expositions et ateliers célébrant la création africaine et le dialogue interculturel.

Le Fado Festival 2024 se déroulera les 25 et 26 septembre au Théâtre National Mohammed V à Rabat. Cet événement mettra en vedette deux artistes emblématiques du Fado : Beatriz Felício et Matilde Cid. Les spectateurs auront l'occasion de découvrir la profondeur et la beauté de la musique portugaise, alliant tradition et modernité. Ne manquez pas cette immersion culturelle unique !

Découvrez la Tbourida, l'art équestre traditionnel arabo-amazigh inscrit au patrimoine mondial. Explorez cette fascinante danse équestre qui simule des parades militaires ancestrales avec des cavaliers en costumes traditionnels.

La 17ᵉ édition du Festival Tifawin s’est déroulée du 7 au 17 août 2025 à Tafraout, confirmant son rôle majeur dans la mise en valeur de la culture amazighe. Placé sous le thème « Pour une ruralité animée », l’événement a proposé une programmation variée mêlant concerts, danse Ahwach, Olympiade de Tifinagh, ateliers artisanaux, compétitions sportives et débats sur le développement rural. Dans une ambiance unique entre montagnes et traditions, des milliers de visiteurs ont célébré la créativité amazighe et l’hospitalité locale. Après ce succès, l’édition 2026 est déjà en préparation et promet de renforcer la dimension internationale du festival. Les visiteurs sont invités à réserver dès maintenant leur séjour pour vivre une expérience inoubliable à Tafraout.

Seuls les jeunes de la tribu d’Ait Hdidou et la tribu d’Ait Azza prennent part au mariage collectif d'Imilchil. Selon les traditions...